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3> Certains contours sont précisé (bras, mains...). Le visage de Léa est assombri peu à peu laissant seules les parties proéminentes en pleine lumière.
Instant complice ?
La transmission d'un savoir ?
Qu'y a t'il donc d'écrit sur ces feuilles ?....

Enigmatique, cet instant choisi...
Déjà tableau avant même d'être une peinture...


Voici donc une interprétation de
la scène finale de la pièce de théâtre
"Faut pas l'appeler petit machin"
,
jouée par la Compagnie du petit vélo
au printemps 2007, à Besançon.

CI-dessous, quelques prises de vues relatant
la peinture de cette scène...
Vos commentaires :

...Tout comme Francis j'ai un coup de coeur particulier pour cette toile. (Xavier A.)

... Bravo pour votre galerie, un coup de coeur particulier pour celui-ci (Francis D.)

Hermosa complicidad! (M. Pilar)

Une superbe et radieuse complicité! (Cd)

Saisissant. Un bel instant. (Maxence)

Très belle lumières, beau rendu, très très bien, c'est valable pour les autres tableaux aussi,

vos pastels sont magnifiques. Amitiés. (Jen-Pierre B.)

Belles expressions ! Amicalement. (Françoise)

Magnifique! J'adore. (Josée)

Merveilleux! (A.)

Superbe (Gérard P.)

Très bien réalisé! ! Cette scène, semble totalement réelle… Avec de magnifiques regards, et de très belles couleurs. Bravo. (Monique V.)

Tres tres bien fait. Vivant. Bravo! (ML.C.)

2> Le contraste est accentué par la mise en place de l'arrière-plan foncé qui détachera les visages fortement éclairés.
Les modelés apparaissent progressivement sur les corps et les visages et les plis des habits sont suggèrés peu à peu.
La forte intensité lumineuse vient faire écho à la puissance du rouge.
4> Afin de briser l'uniformité du fond, un "jus" composé simplement de thérébentine et d'huile est passé sur le support. En choisissant de ne pas couvrir intégralement la surface, et de garder un côté esquissé, inachevé, qui donnera une dynamique à l'ensemble.
5> Travail sur les visages, précisant les traits.
Le côté clair obscur est accentué en étendant la zone sombre
en arrière plan : les cheveux des deux personnages
disparaissent dans l'ombre.
6> Création d'un cadre

7> Le tableau achevé, avec et sans cadre.
Le cadre a été choisi large, plat et sans moulures et peint
avec un rouge en accord avec le ton bois du fond.

MARIE ET LEA
Peintures à l'huile. Térébenthine, huile de lin. Crayon. Carton beige épais.
1> Le dessin est ébauché sommairement au crayon de papier afin de cadrer la scène, et en privilégiant une composition en L.
Quelques couleurs sont étalées en aplats et rapidement : blanc, rouge au cadmium foncé, violet de dioxazine, noir et rose portrait.