Mes rivières

Je pêche dans de petits ruisseaux dans les bois, des torrents de montagnes, des rivières de moyennes et grandes envergures (Dranse, Bienne, Ugine, etc..). Mes endroits préférés restent tout de même les petits ruisseaux peu connus de pêcheur, bien sauvages ! Quel bonheur !!!
J’adore découvrir de nouveaux endroits !!

Mes appâts

Je pêche avec différents appâts selon les conditions. Essentiellement des vers de terres ou de terreau par eau forte et trouble. Dans les eaux basses je privilégie la mouche naturelle, la sauterelle ou la teigne.

Le matériel

Je pêche avec une canne sert avenger en carbone mesurant 3,90m à action de pointe, assez légère, avec une poignée en liége, télescopique. Moulinet truite Ritma 72 de Bam Peerless à récupération rapide muni d'un frein permanent et d'un frein à gachette. Il récupère sans vriller le fil La sortie du nylon est assurée par un guide-fil qui se clipse sur un prolongateur.

- poids : 95g
- capacité : 275m en 25/100
- récupération : 55cm/TM

Sinon je possède un manteau étanche, un gilet, cuissardes (indispensables à mon avis), lunette polarisante.
Les choix de Michael
Présentation

Bonjour a tous, j’ai 17 ans. Je vis en Haute-Savoie.
Je pêche depuis 4 ans au lac Léman (brochet, perche, ablette, carpe ...), en étang, en canal lorsque je me rends en vacance.
La découverte du toc remonte à seulement un an ! Et oui je suis tout nouveau dans le monde du toc. J’ai découvert cette technique par l’intermédiaire d’un copain pratiquant en rivière. J’étai juste spectateur, pas de chance les truites n’ont pas été au rendez-vous. Durant l’hiver, j’ai remarqué un petit ruisseau vers chez moi mais je doutai fort d’une activité étant donné la taille très restreinte du cours d’eau. Cependant ce petit cours d’eau commençait à me faire rêver, chaque jour j’allai observer, prendre des photos, penser.

Nous somme donc en mars, à l’ouverture, je m’étai procuré mon permis à l’avance quelques boites de vers. Ca y’est c’est le grand jour, il neige je me dirige vers le ruisseau, sans même être sur qu’ils s’y trouve du poisson. Je sort la canne, met les bottes et la c’a y’est je suis au bord du ruisseau et j’essai tant bien que mal de pêcher. C’est magique, ces instants reste dans ma mémoire ! Je repère des traces de pas et là j’ai compris qu’il y avait réellement du poisson ! Je tombe sur un pêcheur et l’observe, il pêchait avec une petite chevrotine dans les trous. Tout gelé par le froid je rentre chez moi. Le mardi, j’y retourne, il faisait doux et la neige fondait. Je pic un beau vers le met dans un trou vers un rocher et là…surprise !! Une truite la première, elle est au bout je la sort quel bonheur !! Je n’en avait jamais vu auparavant, j’admire ça belle robe et la remet à l’eau tout content. La PREMIERE !!!

Par la suite je me suis perfectionné dans ce ruisseau, j’ai affiné ma technique pris les réflexes. Un jour à la boutique de pêche le détaillant m’a donné le numéro d’un pêcheur désirant me montrer, me transmettre le virus du toc. Ainsi une amitié est née est nous avons parcourus différents cours d’eau de Haute-Savoie. Jean-Claude, pêcheur expérimenté dans la matière m’a tous enseigné l’art du toc et c’est devenu une véritable passion.